On y parle l’anglais et le kiswahili, mais aussi l’arabe dans les îles de Zanzibar et Pemba.
Ses frontières naturelles sont formées par l’océan Indien à l’est, le Kilimandjaro et le lac Victoria au nord, la rivière Kagera au nord-ouest, le lac Tanganyika à l’ouest, le Malawi au sud-ouest et le fleuve Ruvuma au sud. Il a des frontières terrestres avec le Kenya et l’Ouganda au nord, le Rwanda et le Burundi au nord-ouest, la République démocratique du Congo à l’ouest, la Zambie et le Malawi au sud-ouest et le Mozambique au sud. Donc très entouré.
COMMENT SE RETROUVER
Les transports tanzaniens s’effectuent principalement par la route, avec un complément par le rail. Le réseau routier est cependant mauvais, et peu nombreuses encore sont les voies goudronnées: la saison des pluies rend nombre de pistes impraticables pendant des jours, voire des semaines, et le seul lien entre la côte et le lac Tanganyka durant cette période est ferroviaire.
La plupart des routes pavées tanzaniennes se situent dans l’Est et le Sud-Ouest du pays. Dans le reste du pays, des pistes (parfois en gravier) constituent l’essentiel d’un réseau où l’on peut occasionnellement trouver des sections goudronnées mais isolées.
L’autoroute Le Caire-Le Cap (autoroute no 4 sur le réseau autoroutier panafricain) pénètre en Tanzanie depuis le Kenya par la localité frontalière de Tunduma et traverse Arusha, Dodoma, Iringa et Mbeya avant de poursuivre vers la Zambie. Une importante section entre le Parc national de Tarangire et Iringa n’est pas goudronnée, et peut devenir difficile en cas de pluies abondantes.
C’est d’ailleurs ce qui fait que le rail est nécessaire.
Et les lignes de ferries sur les Grands Lacs.
LES PLAGES
Ce sont celles de Dar El Salam.
À NE PAS MANQUER
D’immenses espaces cuits par le soleil d’Afrique, des montagnes et des volcans jaillis des entrailles de la Terre, de grands lacs, des animaux sauvages et libres (certains toujours menacés), des troupeaux par milliers (par millions dans le cas des gnous), des paysages dignes du jardin d’Éden, des savanes à l’infini ponctuées d’acacias et de baobabs.
Les parcs sont moins nombreux qu’au Kenya mais sont plus vastes Parc national d’Arusha Parc national de Tarangire Parc national de Manyara Zone protégée du Ngorongoro Parc national du Serengeti .
QUOI MANGER
– Les viandes : pas de problème dans les lodges ou établissements de standard européen. Si vous avez des doutes, rabattez-vous plutôt sur le poulet.
– Les poissons et crustacés : un régal de simplicité et de goût, à prix modiques. Ils sont à éviter dans les lodges des parcs, où la fraîcheur n’est jamais garantie. Sur la côte orientale et à Zanzibar, en revanche, les produits de la mer sont bien frais. Les langoustes, cigales de mer et crabes sont succulents et présentés sur les cartes de nombreux restos de Zanzibar, à des prix très raisonnables. Le poulpe (pweza) n’est pas mauvais non plus.
– Les crudités et les légumes : gare aux crudités et aux légumes non cuits. Par mesure d’hygiène, évitez-les. Préférez les légumes cuits, bouillis, grillés ou revenus à la poêle. La plupart des légumes d’Europe se retrouvent dans l’assiette des lodges et des restos : tomates, carottes, choux, haricots verts.
– Les fruits : oranges, ananas, mangues, papayes, bananes… Ils sont délicieux et ne coûtent pas cher.
– Le fromage : il existe une sorte de cheddar tanzanien, à pâte cuite, produit dans les grandes fermes. Mais il est sans grande saveur.
Mais le plat le plus courant en Tanzanie est l’Ugali. Une sorte de polenta à base de maïs ou de manioc. Pour les boissons, les bières sont Safari et Kilimandjaro. Pour les vins ce sont toutes des importations.
Beaucoup de cuisine indienne
LA NUIT.
Les soirées les plus chaudes se trouvent dans les lodges à coup de piano bar et d’orchestres locaux.
SOUVENIRS
Masques, objets en paille, en rotin ou céramiques.
AVEC 10$ vous pouvez obtenir
- 2 ou 3 ananas;
- 3 bières Kilimandjaro;
- 2 AR pour Zanzibar;
- 4 bols de riz pilau (épicé);
- 1 heure de guidage dans la nature;
- 1 petit déjeuner dans un lodge;
- 1 entrée pour le parc Ngorongoro.
En collaboration du Routard